Ikkyu Sôjun, 1394-1481 |
sa calligraphie de son dernier poème, 1481 |
siebensilbige
Vierzeiler Ikkyus
des
Einsiedlers, des Liebenden
heute
taucht das Buch wieder auf
aus
einer staubigen Kiste, unversehrt
keine
Spur von Asche oder Nässe
stand
wohl nicht im brennenden Zimmer
heute
taucht das Buch wieder auf
ich
lese weiter, nach vierzig Jahren
Ikkyu
lebt noch und ich bin nicht tot
*
les
quatrains à sept syllabes
d’Ikkyu,
l’ermite, l’amant
ce
matin je retrouve son livre
dans
un carton poussiéreux, indemne
aucune
trace de feu ni d’eau
il
n’était pas dans la chambre qui brûle
ce
matin je retrouve son livre
et
continue à lire, après quarante ans
Ikkyu
vivant et moi pas mort
NOUVEAUX
NEUVAINS
vol.
5
inédit
.
immenz schéine blog
RépondreSupprimermerci Claudine pour le sympathique compliment
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