Jean-Marie Biwer, Plume, 2013 |
dans
le rêve je rêve que je ne rêve pas
et
que la nuit n’est pas la nuit
d’un
moment à l’autre je vais naître
d’un
moment à l’autre disparaître
entre
mes deux mains un arc en ciel
qui
dure quelques instants
à
travers l’averse j’aperçois l’aimée
qui
semble, de loin, me sourire
si
je rêvais, elle me dirait qu’elle m’aime
Neuvains, vol. IV
Quelle intensité! Splendide, encore.
RépondreSupprimer2:14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher,
RépondreSupprimerQui te caches dans les parois escarpées,
Fais-moi voir ta figure,
Fais-moi entendre ta voix;
Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
Extrait du cantique des cantiques
Dans un autre genre que le cantique des cantiques, Lio, Amoureux solitaire;
RépondreSupprimerEh toi dis-moi que tu m'aimes
Même si c'est un mensonge et qu'on n'a pas une chance
La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes
Tous les jours sont les mêmes, j'ai besoin de romance
Et puis ça;
https://misquette.wordpress.com/2015/01/18/153-vertige-de-lamour/
Bonjour Lambert,
RépondreSupprimerDepuis que j'ai lu votre poème Obliques rayons.... chez Stéphane, je viens aussi vous lire chez vous. Et vous lire est une joie.
Vos mots faussement simples, mais si simples pourtant et si beaux sont un repos pour l'âme, une parenthèse dans la furie du monde parfois.
merci misquette
RépondreSupprimermerci Antigone
cela fait très plaisir d'avoir un écho
poèmes sont sont bouteilles à la mer
qui de temps en temps trouvent rivage...