Fragment 2013 — La maléfique engeance des théologiens n’aura jamais fini de me
surprendre et de m’agacer. Sans cesse ils s’en prennent à moi et à mon
intégrité.
En me faisant engrosser Marie, la
vierge, ils ont grossièrement sabordé mon universalité : la transcendance
est mâle, l’infini est sexué.
Et les femmes ne sont bonnes
que pour le coït.
Et les femmes ont bien
intériorisé cela, même les moins femelles qu’on puisse imaginer : du côté
de la plus sublime mystique, ce qu’elles demandent à Dieu, c’est l’orgasme.
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