Jean-Marie Biwer, trois bouleaux, nov. 2011 ©
sur tant de milliers de pages
la seule chose à dire, je ne
l’ai pas dite
stupeur devant l’existence
étonnement devant le monde
vivre, respirer comme si cela
allait de soi
chaque matin au sortir du néant
se réveiller
l’émerveillement devant l’amour
ai-je jamais réussi à
l’exprimer ?
mais le non-dicible, c’est ce
qui me fait dire
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