sur la colline, les deux familles vivaient
heureuses, côte à côte, depuis toujours
un jour d’avril, l’une des maisonnées fut
décimée
le père, la mère, les grands-parents, les
enfants
sauf les deux cadets qui survécurent, cachés —
le voisin raconte ce qui se passa ensuite
le travail se faisait au gourdin, sur la tête,
pour le grand, dit-il, il m’a fallu deux coups
pour le petit, Claudiyani, un seul coup a suffi
.
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